Joe Potter et Matt Trent travaillent ensemble depuis cinq ans dans une maison isolée, et coincés par de fortes chutes de neige, ils s’apprêtent à célébrer Noël.
Pour une fois, Matt tente d’en savoir un peu plus sur Joe. Celui-ci est réticent à évoquer son passé, et questionne plutôt Matt sur le sien. Trop content d’en avoir enfin l’occasion, Matt se lance dans la narration de son histoire.
« Blanc comme neige » est un petit film qui retrace les derniers moments de liberté de deux hommes, bloqués dans un désert blanc (qui pourrait être considéré comme un goulag) dans le cadre de leur travail. En cinq ans, les conversations entre les deux protagonistes furent trop peu nombreuses, mais il est temps de fêter dignement Noël et d’enfin se livrer…
L’épisode se découpe en deux parties distinctes où chaque personnage livre son récit .
On y découvre un monde plus évolué que le nôtre dans lequel chaque être humain possède un implant dans les globes oculaires proposant un semblant de réalité virtuelle.
Ensemble, ils échangent leurs expériences malheureuses bercées par une technologie cruelle. Bien entendu, Noël est le point central du scénario.
C’est une très bonne histoire. Quelques moments sont tout de même assez prévisibles ce qui n’enlève en rien à l’intensité de la chute. La manipulation va au-delà de ce que l’on peut imaginer.
Allons-nous vers ce genre d’interactions sociales ?
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